Archives de Catégorie: Tentatives infructueuses

Inconnu – The final countdown

Chez les clips nanars, on publie du clip nanar. Les écarts sont rarissimes ; nous tenons bon notre ligne éditoriale. Nous n’avons cependant pas pu résister à l’appel de cette vidéo, très nanar, mais pas franchement clip, qui a fait son petit buzz sur Internet comme « pire reprise de tous les temps ». Un titre mérité. Nous la référençons aujourd’hui ici malgré sa popularité extrême, dans l’espoir de ravir ceux d’entre nos lecteurs qui ne la connaitraient pas encore.

Mental Note – When you run out of gancha

Voici le passage d’un groupe de jeunes artistes bourrés de talent dans un télécrochet du début des années 1990. Les paroles sont faciles à retenir, le rythme entrainant et assuré : tous les ingrédients du tube sont là !

Leonard Nimoy – Ballad of Bilbo Baggins

Voici la rencontre savoureuse entre deux univers très prisés de ces jeunes adultes régressifs et boulimiques de consommation numérique qui se plaisent à s’appeler « geeks » : Le seigneur des Anneaux et Star Trek. L’interprète de Spock, Leonard Nimoy, nous chante la ballade de Bilbo Baggins, le fameux Hobbit de Tolkien. Accompagné par de joyeuses danseuses n’ayant visiblement rien à perdre, Nimoy déploie son conte musical dans une atmosphère très sixties.

Mr T – Treat your mother right

Un petit classique de derrière les fagots avec cet inpérissable « Treat your mother right » de Mr T où le punk géant du ghetto, comme le titre de son oeuvre l’indique, nous invite avec groove et autorité à respecter nos mamans.

La scène d’introduction où Mr T réconcilie promptement deux enfants en pleine dispute est définitivement rentré dans la légende.

Alain Delon – Comme au cinéma


L’acteur français le plus connu au monde, ayant joué pour les plus grands réalisateurs ; Visconti, Melville, Verneuil, Losey, est également connu des nanarophiles pour ses multiples bouses infâmes : Dancing machine, le Passage, Parole de flic et surtout, le nanar suprême de BHL, Le jour et la nuit.

Mais le bel homme, dans ses vaines tentatives, s’est également essayé à la chanson, pour notre plus grand bonheur. Capitalisant sur son image de marque passée, il sort en 1987 le single « Comme au cinéma » dont voici le clip.

« Qu’est ce qu’on peut dire d’un homme comme moi ? On dit c’qu’on veut, moi… Je changerai pas ».

Et comme d’habitude, Delon n’a peur de rien ni de personne, on le sent transporté par son propre être, séduit par sa propre image. Cette confiance en soi à toute épreuve fait toute l’étoffe des grands artistes du clip nanar.

« Ni passé simple, ni passé compliqué, je conjugue ma vie à l’imparfait ».